Sonde M.A.L.P.

MALPLe M.A.L.P (Mobile Analytic Laboratory Probe) est un robot de reconnaissance destiné à franchir la Porte des Étoiles pour recueillir les informations nécessaires à la faisabilité d’une exploration. Il est capable d’analyser les conditions environnementales et les risques potentiels (comme l’absence d’un DHD ou la présence d’ennemis) avant qu’une équipe ne franchisse la porte.

 

Fonctionnement

Afin de remplir pleinement sa mission, le M.A.L.P dispose, à l’avant, d’un bras articulé terminé par une pince. Il peut servir à collecter un élément étranger ou à vérifier la stabilité ou la composition d’un édifice. Pour obtenir un visuel de la planète, les terriens ont équipé le M.A.L.P de nombreux équipements tels qu’une caméra Haute Définition, un spectromètre et des capteurs infrarouges.

Pour l’analyse atmosphérique, le robot peut compter sur ses nombreux capteurs tels que les thermomètres, les baromètres et les hygromètres. Les radiations pouvant être un danger non négligeable, la sonde est équipée d’un compteur Geiger.

Pour assurer la liaison entre la base et les différentes planètes, le M.A.L.P. est pourvu d’un micro unidirectionnel, d’antennes réceptrices et d’une parabole. Ces dernières peuvent être réglées afin de communiquer aussi bien avec les unités de la base qu’avec d’autres cultures désireuses d’établir des liens avec les Terriens.

Une fois un M.A.L.P envoyé sur une planète, il ne peut rentrer que si un individu va sur cette planète et rouvre la porte en direction de la base. Les M.A.L.P expédiés sur des planètes hostiles ou franchissant des portes spatiales sont abandonnés.

Bien qu’étant un matériel high-tech, étanche et résistant aux gaz corrosifs, le M.A.L.P. ne semble pas résister aux surtensions comme un tir de blaster/Zat’Nik’Tel ou lance Wraith/Jaffa mais fonctionnent étrangement dans l’espace.

Utilisations notables

Lorsque James Parker découvrit les coordonnées de la cité d’Atlantis, le SGC décida d’envoyer un M.A.L.P sur la planète afin d’explorer la planète et de garantir la sécurité de l’expédition. Ses données indiquèrent un espace clos totalement immergé dans le noir ainsi qu’une atmosphère respirable. L’expédition put donc partir sereinement.

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